Coupe du Monde de rugby 2023 : les Gallois à Versailles

Pour la Coupe du Monde de rugby 2023, le Pays de Galles logera à Versailles. Les joueurs s’entraineront ainsi au stade de Porchefontaine.

Le rugby a déjà une place à part dans le sport Versaillais. ©CD78/N.Duprey

La Coupe du Monde de rugby, c’est aussi dans les Yvelines. Alors que la date fatidique approche avec un match d’ouverture entre la France et la Nouvelle-Zélande, les organisateurs et les sélections se préparent à rester sur le sol français. Premier cheval de bataille, les sites de préparation. Si les Bleus logeront logiquement à Marcoussis, elles sont 19 sélections à devoir trouver un centre d’entraînement.

Porchefontaine, stade de la Coupe du Monde de rugby 2023

Le stade de Porchefontaine accueille chaque année le Tournoi 7 de Coeur. ©CD78/N.Duprey

Pour le Pays de Galles, la réponse est trouvée. Les membres du XV du poireau prendront leurs quartiers à Versailles. Un accord conclu entre la fédération et la commune a entériné l’accord. Le complexe de Porchefontaine sera donc un des hauts lieux du rugby en France en 2023. En effet, malgré un tournoi des Six Nations médiocre, les coéquipiers de Dan Biggar ont atteint le dernier carré de la compétition lors de la dernière édition.

En 2007, la France avait déjà accueilli la Coupe du Monde de rugby. La ville de Versailles avait aussi joué un rôle dans l’organisation. Cette fois-ci, c’était la sélection anglaise qui avait posé ses valises au Trianon Palace. Ils s’étaient alors entrainés au stade Montbauron et, comme la lumière n’était pas possible le soir, au stade de Porchefontaine.

Le club de Versailles réjouit par l’annonce

Les Gallois poseront leurs valises à Versailles.

Cette venue de l’équipe galloise à Versailles pour la Coupe du Monde de rugby 2023 est une consécration pour le club de rugby de Versailles. Évoluant en Fédérale 3 (sixième division), les supporters se réjouissent de la venue galloise. Une chose est sûre, les tribunes du stade seront pleines à chaque entraînement. Il faut croiser les doigts pour que ceux-ci soient ouverts au public.