Concert Solistes de la Villedieu

Des Trios pour piano, violon, violoncelle, au cœur du romantisme

Mel Bonis, Chausson, Mendelssohn

Par Marianne Piketty, Louise Salmona, violons, Emmanuelle Bertrand, violoncelle, Dana Ciocarlie, piano

L’Allemand Félix Mendelssohn, père du romantisme triomphe en 1840 avec son Trio n°1, éminemment romantique. Quelques décennies plus tard, Ernest Chausson invite ses compatriotes français à se « déwagnériser », tout en restant un grand admirateur de la musique germanique, il écrit son propre Trio qui semble faire directement allusion à son aîné Mendelssohn. Contemporaine de Chausson, la compositrice Mel Bonis s’approprie ce genre dans un type d’écriture moins académique avec son opus 76 divisé entre Soir et Matin.